Les chemins communaux ouverts à la circulation 
- Le chemin du Villard
- Le chemin de la Combe (Tuilière, traversée du ravin des Graves)

Les chemins communaux ouverts à la circulation pédestre ou équine
- Le chemin de l'église et de l'ancien cimetière du Castellard
- Le chemin de Fontsourde à Mélan
- Le chemin de Font d'Enfret
Les chemins communaux impraticables en l'état
- Le chemin communal vers Combénier depuis l'embranchement avec le chemin communal pédestre qui monte de Fontsourde à Mélan :
Une variante carossable a été créé par un privé, en détruisant sans la rétablir la partie de l'assiette pédestre du chemin communal de Fontsourde à Mélan. Une action unilatérale privée en dehors de la procédure alors en cours entre la commune et les propriétaires riverains de cette partie finale de l'ancien tracé communal à réhabiliter ou pas. 
Les chemins ruraux ouverts à la circulation

- La partie aval et amont du chemin de la Faÿsse
- Le chemin autour de la bâtisse de Fontbarlière
- Le chemin de Saint-Geniez sans atteindre la cabane d'alpage
- Le chemin de Sisteron jusqu'au ravin des Graves
- Le tronçon montant vers Manent
- La partie amont du chemin de Vièrisnarde
- La desserte du hameau de Mélan, depuis la RD3 et deux issues sur le chemin de Mounis (chemin départemental 17)
Les chemins ruraux ouverts à la circulation pédestre ou équine
- Les tronçons de la vieille route de la Font du Roy aux Collons, support d'une canalisation d'eau publique en 110 mm + 3 réducteurs de pression
- La vieille route depuis les Collons jusqu'au chemin de Viérisnarde, en continuité avec le tronçon précédent depuis la Font du Roy
- Le tronçon de Manent à la Vielle route au niveau du regard d'eau publique
- Le tronçon du chemin de Sisteron depuis le ravin des Graves jusqu'en crête de la colline Saint-Joseph, jonction avec le sentier de la Grande Traversée des Préalpes
- Le chemin de Costeplane, sans issue pédestre ou équine, à l'aplomb du ravin des Graves, ancien passage de berger ou bergère pour rejoindre la "cabane" dans la colline en face
Les chemins ruraux impraticables en l'état

Le tronçon de contournement Ouest de la bâtisse de la Faÿsse
Le chemin de Saint-Estève, secteur Gaudemar et son appendice Ouest selon le plan cadastral rénové
- La partie amont du chemin de Saint-Estève jusqu'à la maison de la Marceline, ouvert à la circulation, canalisation publique en traversée depuis 1997 et une autre en accotement peu de temps après,
Le tronçon aval du chemin de Saint-Estève, de contournement Ouest de la ruine de Gaudemar jusqu'au vallon de Vaulouve, impraticable en l'état,
- L'appendice, tronçon de la vieille route, support d'un caniveau d'eaux pluviales publiques et d'une canalisation d'eau publique de desserte du secteur de la Rochette depuis 1997,
La commune revendique l'appartenance sans interruption du chemin de Saint-Estève à son domaine privé, alors qu'un riverain affirme qu'il s'agit d'un chemin d'exploitation. Le Tribunal Administratif, le 22 juillet 2019, se déclare incompétent et renvoie les protagonistes devant un Tribunal judiciaire. 
La partie amont de ce chemin, ouverte à la circulation constitue par ailleurs depuis plusieurs centaines d'années un désenclavement pour plusieurs fonds privés et également support pour la commune d'équipements publics de fournitures de l'eau et évacuation des eaux pluviales. Par sa mention permanente au plan cadastral, cette partie de chemin public de désenclavement ne peut en aucun cas être rétrogradé en chemin d'exploitation, la jurisprudence est constante sur le fait que Le droit de passage cesse si le terrain n'est plus enclavé du fait, par exemple, de la création d'une route ou d'un chemin public desservant ce terrain.
Un chemin d'exploitation dans le domaine privé communal, fermé en dehors des périodes d'exploitation
- Le chemin de desserte et de débardage en forêt communale secteur ARDOUIN